Darius Van Berg

MY CHARACTER

Mélancolique, Nostalgique, Poétique, Psychotique !? mais si Romantique...

• Nom & Prénom(s) :

Van Berg, Darius

• Date & Lieu de naissance :

9 décembre 1908, Brème, Allemagne (26 ans d'apparence)

• Groupe :

Vampire

• Statut :

Célibataire

• Métier :

Aucun pour le moment. Il survit en faisant les poches de ses victimes...

• Caractère :

Darius est un grand nostalgique. Toujours en fuite, il doit sans cesse quitter ceux qu’il peut aimer. Vivant constamment dans les souvenirs des meilleurs moments de sa vie mais aussi dans les pires, il demeure très émotif, même pour un mort-vivant, cela dit, ses propres souvenirs et le réel déroulement des événements de sa vies sont souvent séparés d’un large fossé. Extrémiste, il est capable des plus romantiques moments comme des carnages les plus sanglants. En amour, il a souvent eût le coeur brisé et il aime se répéter qu’on ne l’y reprendra plus mais malgré l’expérience et les années, il lui arrive (souvent) d’oublier de se méfier. Retiré et solitaire, il lui arrive rarement de s’ouvrir réellement à quelqu’un mais s’il le fait, il le fait avec sincérité. Par contre, si quelqu’un intente quoi que ce soit contre lui, il est capable des pires vengeances... Il est capable de meurtre (même si ce n’est pas pour se nourrir) mais s’il considère que votre sort doit être encore pire que la douceur de la mort, il est capable de tout, comme de vous défigurer, vous couper un membre ou encore tuer vos enfants sous vos yeux, par exemple...

Solitaire, donc, dans sa tête, dans son univers. Il est si bien seul que la compagnie des autres est accessoire. Il se divertit par lui même, se remémorant les bons et moins bons souvenirs, s’inventant des histoires... Il n’est jamais seul avec sa solitude...

Très intelligent, il a toujours su s’adapter à la perfection aux nouvelles technologies, aux nouvelles modes, aux nouvelles langues et expressions. Paradoxalement, il a beau être intelligent, il reste plutôt naïf en relations humaines.

Finalement, il n’est pas le genre de vampire à tuer pour le plaisir. Il le fait strictement pour se nourrir et quand il peut éviter de donner la mort, il le fait. Bon, ça n’a pas toujours été le cas et les années 50 étaient pour lui un méga festin de sang et de décès mais depuis, il a vieillit, évoluer et aussi les techniques policières se sont grandement améliorées... Donc, désormais, tuer par plaisir n’est qu’en cas de jouissives vengeances...

• Physique :

Darius mesure 1 mètre 77 ce qui est moyen aujourd’hui mais qui était considéré comme grand à l’époque de son adolescence. Ses cheveux sont noirs comme le charbon, raides, lisses, et suffisamment longs pour cacher son visage. Sa peau, comme celle des autres vampires, est clair et pâle. Le contraste avec ses cheveux lui donne l’air encore plus pâle. Au centre de ce visage tout blanc, les yeux de Darius, des yeux bleus si clairs qu’ils sembleraient briller dans le noir. Sous les yeux, un nez fin et droit, suivit de fines lèvres roses que la transformation a eût pour effet de pâlir un peu. Il a un petit cou frêle qui semble pouvoir casser au moindre coup.

Son corps est fin, mince mais tout de même musclé par les années d’entraînement militaire imposé par son père. Sa peau tout aussi blanche que celle de son visage est dépouillée de tout poil (mis à part aux aisselles où ils sont noirs et raides comme ses cheveux mais légèrement moins soyeux). Ses mamelons ont également prit cette couleur d’ancien rose blanchit de ses lèvres. Au centre de son corps, un nombril comme un trou noir, une tache sombre sur un ventre plat et blanc comme le lait.

Pour ce qui est de son style vestimentaire, il a toujours su s’adapter à la mode de l’époque ou à la situation. Caméléon, il se déguise plus qu’il ne s’habille. Pour lui les vêtements sont nécessairement un costume. Et c’est plutôt amusant de se costumer...

• Goûts personnels :

Darius aime les arts en général, que ce soit la littérature, la peinture, la photographie ou le cinéma. Bien qu’il apprécie, il n’est pas lui-même un artiste mais il n’hésite jamais à participer à l’Art de quelque façon que ce soit. Il aime aussi les bons vins, particulièrement les vins italiens. Mais le meilleur des vins n’est rien en comparaison du sang chaud d’une victime encore en vie. Il a une passion pour ce qui est juste même s’il a une conception bien personnelle de ce qu’est la justice.

Il déteste les foules (s’il n’est pas le centre d’attraction, bien sûr). Il n’aime pas le soleil et les chasseurs, cela va sans dire. Il n’aime pas les sons trop forts ni les animaux. Il déteste la violence quand il n’en est pas à l’origine. Finalement, il déteste Elena... Où qu’elle se trouve...

• Famille & Alliés & Ennemis :

Tous morts ou loin derrière...

• Effets personnels :

Aucune attache aux objets,, il fait pleinement confiance en ses propres capacités et fait avec ce qui lui tombe sous la main...

MYSELF

• Prénom/Surnom :

Call me Vincent ! ^^

• Date de Naissance :

5 mai 1983

• Sexe :

Masculin

• Région :

Canada

• Code de lecture {Dissimulé dans le règlement} :

OK par Svelty.

• Comment avez-vous connu The Honour ?

Par ma petite Svelt...

• Qu'est-ce qui vous a poussé à vous y inscrire ?

Votre talent, chère Juliet...

Darius Van Berg

I.
Conception
ou
Donner et Perdre la Vie

Lorsque Bijoux et Richard annoncèrent leur mariage, personne ne fût véritablement surpris. Ces deux tourtereaux s’emblaient être amoureux l’un de l’autre depuis le berceau. Aussi, les parents des jeunes amants ne firent aucun cas de leur jeune âge. Bien qu’encore adolescents, ils avaient tous les deux fait preuve de sérieux et avaient gagné la confiance de leurs beaux-parents respectifs C’est donc dans la joie et l’allégresse que leur union fût officialisée aux yeux de Dieu. Après la cérémonie sacrée vint, dans le juste ordre des choses, le désire (ainsi que le devoir) de procréer. Et c’est ici que se jette la toute première ombre au tableau...

Tenter d’avoir un enfant devint rapidement une idée obsédante dans l’esprit de Richard. Malgré toutes leurs tentatives, les mois passaient sans que la vie se forme dans le délicat abdomen de son épouse. Mais Richard n’était pas homme à se laisser abattre. Quand il avait une idée en tête, nul ne pouvait lui dire non. Par contre, l’échec flagrant de leurs nombreuses tentatives commença à devenir une source de conflits dans le couple qui, avant d’échanger leurs voeux, filaient le parfait bonheur.

Par frustration, Richard se lança à coeur perdu dans son second amour, sa passion, la politique. Aujourd’hui, nous dirions de Richard Van Berg qu’il était un homme d’extrême droite aux idée archaïques mais à l’époque, ses valeurs rétrogrades allaient simplement de soit. Alors que le christianisme régnait en maître sur la pensée collective, Van Berg savait parler aux gens, utiliser les paroles de la sainte bible et manipuler le peuple afin d’obtenir gain de cause. Ainsi, en 1908, cet homme de bonnes valeurs fût nommé ministre de Brème. Puis, comme dans un conte de fée, par miracle, au moment même où son rêve politique se réalisait, sa femme Bijoux tomba enceinte. Comme si tout pouvait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes...

Malheureusement, la vraie vie n’est pas un conte de fée... Jamais...

Après neuf mois de grosses sans complications d’aucune sorte, l’accouchement fût un désastre. L’enfant se présenta par le siège aussi, le médecin sur place n’eût d’autre choix que d’improviser une opération délicate. Il ouvrit le ventre de Bijoux pour en extraire l’enfant avant de le recoudre en vitesse. Malheureusement, la plaie s’infecta rapidement. Le médecin, voyant le peu de chance de survie de sa patiente et la position importante de son mari alla voir l’homme politique pour lui soumettre une idée. Bien sûr, ce n’était pas une idée qu’il proposait à tous ses clients mais Richard était un homme influant et surtout très riche. Il lui proposa alors un marché des plus malhonnête et honteux. Si Richard lui donnait une somme d’argent intéressante, il ferait venir un ami à lui qui avait le don de donner la vie éternelle... Richard dû alors réfléchir. Devait-il aller contre la parole de Dieu ou devait-il laisser sa femme mourir... Il fit un choix. Il allait faire une entorse, une seule, à sa morale inébranlable. Le marché fût conclu mais le vampire arriva trop tard...

Une femme était morte, un enfant vivait...

II.
Abandon
ou
Tombé Dans l’Oreille d’un Sourd

À la mort de sa femme, Richard comprit que c’était sa faute. Il avait trahit Dieu, bafoué Sa divine parole, il avait voulu déjouer Ses plans divins, résultat; Bijoux était morte. Ne lui restait plus que son fils (qu’il nomma du nom de son père), Darius. Rongé par la peine et les remords, Richard se retira de la politique, se fichant de tout ce qui avait toujours compter pour lui jusqu’à maintenant. Il confia alors le petit Darius à ses parents avant de s’évaporer dans la nature et de disparaître totalement de la circulation. C’est donc chez ses grands-parents autoritaires que Darius vécu les premières années de sa vie. Darius Senior était un homme juste mais dur. Compositeur de musique un peu maniaque et à l’ouïe très sensible, il ne supportait aucun bruit de son petit-fils. Sous la menace de la fessée, ou autres sévices corporels, l’enfant apprit donc à se vautrer dans un parfait silence dès son plus jeune âge. Mais il ne faut pas croire que le petit Darius était un enfant turbulent, loin de là. Et comme l’aveugle qui voit ses autres sens décuplés, le mutisme de Darius eût pour effet de forcer le gamin à devenir un fin observateur de son environnement. Le monde adulte auquel il ne comprenait rien s’encra en lui mais une certaine réalité de ce monde... Son interprétation personnelle et enfantine des subtilités des grandes personnes. Ainsi, Darius commença à se faire sa propre version des événements, appréciant davantage sa vision des choses que la triste réalité...

III.
Rébellion
ou
Autorité Paternelle et Carence Émotionnelle

Dix ans après avoir lâchement abandonné son fils chez ses parents, Richard réapparût.

1918: Fin de la Grande Guerre. Le petit Darius comprit que l’homme avait passé de sombres moments, qu’il s’était battu et risqué sa vie, mais il ne comprenait pas pourquoi cet homme prétendait avoir des droits sur lui. L’homme sévère que les horreurs de la guerre avait endurci prit l’enfant avec lui pour l’amener vivre sous son toit. Séparé de ceux qui l’avaient élevé, Darius commença sa nouvelle vie avec cet homme inconnue qui prétendait être son père.

Bien que son épouse était morte depuis dix ans maintenant, Richard continuait de se sentir responsable, nourrissant quotidiennement une haine envers non pas son fils, mais l’image de celui-ci, l’image d’un enfant qui, pour vivre, avait sacrifié sa mère. Aussi, cet homme froid et meurtri éleva son fils comme un lieutenant entraîne un militaire. Ordre, travail et discipline... Darius, par contre, voyait mal cette autorité nouvelle s’abattre sur lui mais avec son petit corps frêle de bambin, il était difficile de faire résistance à son père. Malgré tout, Darius refusait d’être une victime. Avec la croissance de son corps vint sa révolte. Adolescent, il n’était plus tenable, comme si de ses années de silence sortait enfin un long cri primal incontrôlable.

Si son père, homme chrétien, détestait plus que tout les juifs et les pédérastes (et, bien sûr, les vampires) Darius, lui, se faisait un malin plaisir de traîner avec quiconque appartenait à l’un ou l’autre de ces groupes. Se plaisant à défier chaque directive, si Richard lui avait ordonné de respirer, le jeune rebelle serait sans doute mort.

Le jour où Darius atteignit les 21 ans, n’en pouvant plus, son père le mit à la rue mais le nouvel adulte aurait de toutes façons quitté le domicile. Avec une minuscule valise à la main, il abandonna toute sa vie, son passé et prit le train pour Berlin...

IV.
Désincarnation
ou
Les Années Folles

Berlin, les années 30. La folie et l’insouciance.

Darius avait trouvé refuge dans un petit appartement miteux dont il partageait le loyer avec Elena, une écrivaine venue d’Amérique qui, ne trouvant personne pour l’éditer, gagnait sa vie en vendant son corps dans une maison close et Marcel, un peintre français. Darius, lui, servait de model dans les cours de Marcel. Ça lui permettait de payer sa part tout en mettant à profit son corps que l’entraînement abusif de son adolescence avait finement musclé. Leur appartement, qui avait plutôt des airs de loft, prit rapidement des allures de refuges d’artistes en perdition. Marcel y peignait Darius et/ou d’autres models (qu’ils soient masculins ou féminin) tandis que le bruit de la machine à écrire d’Elena résonnait au rythme de son inspiration ou alors, quand sa muse partait à la plage, elle les amusait en leur racontant les secrets du bordel et de ses clients. Aussi, leur appartement était fréquemment visité par certains de leurs amis, d’autres artistes, des chanteuses des acteurs, des poètes mais le lien entre les trois colocataires était d’une solide amitié.

Mais au fil des semaines et des mois, le trio infernal se transforma en un dangereux triangle amoureux. Pendant que Marcel tombait follement amoureux du sujet de ses plus belles toiles, Darius se devait de reconnaître qu’il éprouvait des sentiments pour la jeune américaine. Cette dernière, par contre, ne semblait aimer personne. Elle semblait aimer tout le monde. Elle était un esprit libre, une âme insaisissable...

Parce que le bonheur n’est jamais éternel, en 1933, Elena quitta ses deux amis afin de retourner en Amérique du jour au lendemain. Darius fût accablé, dévasté, envahit par ce sentiment d’avoir tant aimer mais de n’avoir été rien... Il tenta de se consoler de ce chagrin d’amour dans les tavernes, buvant comme un trou, dans les maisons closes, quand il avait les moyens de s’offrir les services d’une putain, dans les fumeries d’opium, doux plaisirs artificiels, ou encore dans les bras de Marcel. S’il n’était pas amoureux de ce dernier, il accepta néanmoins de succomber à ses avances et de s’offrir à lui. Par contre, à force de faire semblant, il se laissa prendre au jeu. Il éprouva effectivement quelques sentiments pour son ami même s’ils n’étaient que les faibles répercutions nostalgiques laissés par la présence d’Elena dans leurs vies.

Deux ans plus tard, Marcel arriva à l’appartement en état de choc. On l’avait attaqué dans une ruelle sombre, la nuit tombée. On l’avait mordu à la gorge. Il n’eût pas le temps de voir son assaillant et ce dernier se sauva, chassé par la lumière vive des phares d’une voiture passante. Secoué, Marcel avait raconté l’anecdote loin de se douter que sa vie en serait changée à jamais.

La transformation eût lieu cette nuit-là. Marcel et Darius comprirent rapidement ce qui venait de se passer. Marcel en était devenu un... Cela dit, ni lui ni Darius ne virent ce changement comme une malédiction, au contraire. Marcel allait maintenant avoir le privilège de rester jeune (et surtout en vie) éternellement. Fou d’amour pour Darius, il lui offrit de vivre cette éternité à ses côtés. Darius y consentit.

Octobre 1935, à l’âge de 26 ans, Darius Van Berg perdit la vie.
Octobre 1935, à l’âge de 26 ans, Darius Van Berg devint immortel...

V.
Annihilation
ou
Rien ne Vaut la Vengeance d’un Vampire

Comme certaines personnes aujourd’hui se font tatouer ou raser les cheveux, devenir vampire, pour Darius, avait été un geste à la fois autodestructeur et significatif. C’était laisser le passé mourir avec son corps. Par contre, la vie et le destin allaient se charger de lui apprendre que son passé, tout comme son corps, ne serait jamais enterré.

Au fil des années, Darius et Marcel apprirent à se nourrir. Le cours de peinture devint également un lieu de rencontre pour les gens « comme eux ». Mais alors que les amants avaient commencé à ne vivre que la nuit, le reste du monde sombra également dans la noirceur. Le sentiment d’une guerre imminente avait semé le chaos. Impossible de faire la fête sans se retrouver mêlé à un débat politique. Les nazis gagnaient en pouvoir.

Puis, l’horreur...

L’ascension d’Hitler au pouvoir eût, comme on le sait, des conséquences désastreuses. Un jour qui ressemblait aux autres, Darius se rendit dans la salle de cours de Marcel afin de poser mais ce qu’il y vit le changea à jamais. Les tableaux, tous les tableaux avaient été vandalisés; tachés, déchirés, souillés. Les élèves qui, ce soir-là, étaient tous des vampires, gisaient parterre, définitivement morts. Puis, à l’avant de la pièce, sur un piédestal, la tête tranchée de Marcel...

Darius cru devenir fou. Après une crise de larmes et de hurlements, il se tut et ferma les yeux. Il inspira profondément. Son âme... Son âme avait été brisée. Il inspira encore puis détecta la présence d’une odeur particulière. Un parfum. Le parfum de l’homme à l’origine de ce massacre. L’odeur singulière de cet homme qui avait fait un retour fracassant en politique, travaillant maintenant pour les nazis. Un homme qui détestait les vampires. Un homme qu’il connaissait bien. Richard Van Berg.

En quelques jours, Darius avait monté une équipe de trois vampires tout aussi désireux que lui de venger ce massacre. Puis, par une nuit sans lune, ils firent une invasion au domicile de son père. Richard avait vieillit, s’était remarié et avait trois jeunes enfants. Il avait enfin la petite famille dont il avait toujours rêvé mais sa soif de violence avait été irrésistible aussi, il allait regretter amèrement ses gestes. Les vampires défoncèrent la porte d’entrée du domicile armés de couteaux, de lames et de leurs crocs alors que les Van Berg prenaient le repas du soir en famille autour de la table de la salle à manger. Darius, lui, fit une entrée théâtrale avec une immense faux tel la grande faucheuse. Il se planta au bout de la table, fixant son père dans les yeux alors que les vampires tuaient les bambins puis l’épouse. Une fois les humains morts, Darius s’attaqua au monstre, lui tranchant la tête d’un seul coup de faux, le transformant en fontaine écarlate à laquelle vint s’abreuver ses complices. Après son meurtre, Darius regarda la scène, satisfait. Il avait enfin obtenu réparation.

Les livres d’Histoire ont bien sûr occulté cet épisode étrange et macabre...

VI.
Obsession
ou
Motel California

Fuir l’Europe après la guerre (lors de laquelle il se cacha en feignant être mort ce qui n’était pas difficile vu l’état de son corps) avait été assez simple; il suffisait de s’exporter lui même dans un cercueil. Arrivé en Amérique, il traîna ici et là avant d’atterrir à Sacramento, petite ville de la Californie. Là, il fit la rencontre de Jack Berenger, propriétaire d’un petit motel miteux. Darius réussit à se faire engager de nuit à la réception (et à l’entretient, bien sûr). Les années au Berenger Motel furent des années de festin et d’abondance. Tant de voyageurs égarés, tant de filles de joies dont personnes ne se souciait à se mettre sous la dent. (et parfois quelques maris infidèles que l’alcool avait mis KO mais ceux-là, il ne les tuait pas; c’était trop risqué et de toutes façons, la douleur de leur blessure était masquée par l’abus de whisky.)

À la fin des années 50, Darius eût la surprise de sa vie. Un homme débarqua au motel avec à son bras une femme qui, visiblement, était son épouse... Une femme qu’il avait jadis connue... Elena... Le temps avait passé laissant sa marque sur le visage délicat de l’écrivaine mais elle demeurait belle et digne. En fait, les années l’avaient même embellit (du moins dans l’oeil de Darius à ce moment précis). Elle le reconnu, elle aussi, mais devant son mari, elle n’osa rien dire ou faire. Plus tard, en plein milieu de la nuit alors que son mari dormait comme un homme mort, elle revint à la réception. Heureux de se retrouver, ils eurent l’impression de ne jamais s’être quittés. Et comme à Berlin, Darius se sentait toujours aussi amoureux. Il aurait même senti son coeur battre à toutes allures si son muscle avait toujours été fonctionnel. Puis, vint l’inévitable question : Comment se faisait-il qu’en 25 ans, il n’avait pas vieillit d’une seule ride ? Amoureux, se sentant en confiance, Darius se révéla...

Un mois plus tard, dans l’une des chambres du Berenger Motel, étendus sur un lit, Elena et Darius discutèrent de la façon dont ils allaient tuer le vieux et riche mari gênant... Une torride aventure extraconjugale... Comment Elena, femme libre et libertine, avait-elle pu se marier ? Hé bien même la plus indépendante des femmes rêvait parfois d’une vie de château...

Le plan était simple : tuer le mari, récupérer l’héritage, donner la vie éternelle à Elena et se sauver pour vivre l’éternité ensemble ailleurs. Ainsi donc, alors qu’Elena était à une soirée (afin de lui donner un solide alibi), Darius pénétra par effraction dans la demeure du mari. Il le tua en l’assommant avec un chandelier puis mit un bordel monstre dans la baraque avant de partir en empochant les objets de valeurs histoire de déguiser la scène en cambriolage ayant mal tourné. Pas question, donc, de boire son sang. Darius détestait gaspiller de la nourriture mais là, c’était une nécessité.

Elena joua le jeu de la veuve éplorée à merveille. Elle obtint rapidement son héritage et mit sa maison à vendre car « elle lui rappelait trop son cher mari... ». Riche d’une centaine de milliers de dollars (ce qui à l’époque représentait des millions), elle revint voir Darius pour se faire mordre. La nuit suivante, Darius se réveilla seul dans sa chambre du Berenger Motel.

Elle était partie...

VII.
Détérioration
ou
Break on Through to the Other Side

Pour Darius comme pour quiconque ayant VRAIMENT vécu les années 60, il lui était difficile de se souvenir avec exactitude de quoi que ce soit de cette période de sa vie. Période « paix et amour » où tout le monde aimait tout le monde et où, en fermant les yeux et en consommant suffisamment de substances illicites, on pouvait oublier le massacre au VietNam et croire à la paix...

Elena l’ayant manipulé, utilisé et abandonné, Darius se promit de ne plus jamais aimer qui que ce soit. Il se joignit à une commune de hippies où il abusa de tout et laissa quiconque abuser de lui. Pour les autres, c’était de l’anticapitalisme pacifique, pour Darius, qui n’en avait rien à faire de cette nouvelle guerre, c’était plutôt de l’autodestruction. Oublier Elena dans les bras de dizaines et de dizaines de révolutionnaires, oublier sa propre sottise dans les paradis artificiels. Jamais la mort de sont corps n’avait si bien reflété la mort de son être. Les vêtements usés, la musique psychédélique, faire l’amour et non la guerre...

Une période bien colorée pour un coeur si sombre... Mais, tel le Phoenix, il allait bientôt renaître de ses cendres...

VIII.
Ascension
ou
Disco Pop & Et & Acid Rock

Les années 70. Une période magique pour Darius. Il émergea enfin de sa longue dépression quasi comateuse. Dans les années 70, il y avait un endroit sur cette Terre où il fallait être, où tout le monde rêvait de se retrouver... Le Studio 54. Rasé de près, bien vêtu (quoique peu vêtu), son corps, ses muscles et son joli visage en avant plan, il réussit à convaincre, voir charmer, Steve Rubell, le propriétaire de l’endroit, l’homme de la situation, à l’engager comme serveur. Là, il devint l’un des minets les plus connus de la célèbre discothèque. Être aimé, adulé et désiré par tant de monde à la fois, c’était divin. Il n’avait jamais connu un tel sentiment (à l’exception de Marcel qui lui, l’avait sincèrement aimé). De plus, tous ces alcoolos/junkies se laissaient volontiers sucer le sang sans trop s’en rendre compte tant la cocaïne pleuvait littéralement du plafond. Aussi, les différentes substances donnaient à leur sang un goût exquis, des effets euphorisant...

Quand il était au 54, il était le roi du monde, il était au sommet, il était l’homme le plus important... Une Star ! Il était LUI ! Encore aujourd’hui, il demeure très nostalgique de cette époque superficielle où tout semblait néanmoins aller pour le mieux. Il n’était attaché à personne, rien ne pouvait le faire souffrir mais paradoxalement il n’avait jamais reçu tant d’amour.

Mais l’amour dans les paradis artificiels n’en est pas plus naturel et réel...

IX.
Isolation
ou
Le Calme Après la Tempête

Référendum de 1980, alors que le Québec tentait (en vain) de se séparer du reste du Canada, Darius avait du mal à se séparer de l’Amérique. Quand on est un vampire, la fuite est nécessaire et le délai est de 10 ans. Après 10 ans, les gens commencent à se poser des questions et il est bien difficile d’expliquer pourquoi on ne vieillit pas... Mais quand on est le roi du monde, comment peut-on avoir envie de tout abandonner derrière soi ?

Puis, en 1980, une nouvelle mode fit son apparition... Les gothiques. Darius n’en croyait pas ses yeux. Lui qui avait passé la deuxième guerre mondiale à cacher son état de peur de se faire couper la tête et maintenant, il pouvait hurler à qui voulait l’entendre qu’il était un vampire, tout le monde s’en fichait, c’était même devenu commun. Un jour, il attira même un de ces jeunes gothiques (et quel look ridicule, comme si les vrais vampires se déguisaient ainsi) au fond d’une ruelle sombre. Assoiffé, il l’avait vidé de son sang et laissé le corps sur place. Le lendemain dans les journaux, on parlait « d’un jeune homme qui avait prit trop au sérieux les histoires de vampires »... Mais dans quel monde tordu évoluait-il ?

Quittant l’Amérique (ce monde de fou) en exportant son propre cercueil, il arriva en Italie, en plein coeur de la Toscane. Se baladant comme un bohémien, il fit la rencontre d’Asario Salvatore, vieux producteur de vin qui avait besoin de main d’œuvre. Ils conclurent rapidement un marché ; Darius allait cueillir le raisin alors qu’Asario lui offrirait un toit et de la nourriture. Au fil du temps, le vieil italien et le vampire se lièrent d’amitié, l’invité voyant en son hôte une figure paternelle comme il avait pu en rêver.

Le contraste entre son ancienne vie et cette nouvelle était des plus impressionnant mais aussi des plus bénéfique. Entre le chaos de New York et le calme de la Toscane, il y avait un monde mais la sérénité de l’endroit et le vieil homme lui faisait un grand bien. Mais ce dernier n’était pas imbécile, il savait bien que Darius était différent; il avait la maturité d’un homme ayant fait la guerre, ne mangeait que rarement de la nourriture solide... Quand la soif de sang se fit urgente, Asario, confient, laissa son jeune ami se nourrir de son hémoglobine, sachant que rien de grave ne pourrait lui arriver... Ils vécurent ainsi pendant six ans, heureux comme un père et son fils. Puis, un bon soir, comme ça, Darius trouva son ami mort d’une crise cardiaque. Pourquoi Asario n’avait jamais voulu que Darius le transforme ?

Attristé par la perte de son ami et nouveau père, Darius ne se laissa pas abattre. La mort faisait inévitablement partie de sa vie. Soit il devait laisser les gens derrière lui, soit il les voyait s’éteindre. Tel un vagabond, il mit son sac sur ses épaules, retroussa ses manches et quitta le domaine Salvatore.

X.
Domination
ou
Cercle de Sang

En 1987, après avoir quitté définitivement le domaine Salvatore, Darius eût vent de la fermeture du fameux club, le studio 54. Il ne put s’empêcher de ressentir une certaine joie de ne pas avoir eu à vivre ça. Une fermeture, c’est toujours pénible, c’est toujours triste. De plus, Darius n’avait jamais perdu son statu; Il avait été le roi, il avait quitté en roi...

Sac sur le dos, faisant le tour de l’Europe (mais en évitant l’Allemagne afin de ne pas rouvrir de vieilles blessures), Darius finit par découvrir la Russie et ses merveilleux paysages enneigés. À Moscou, il découvrit un petit bar (rien à voir avec les paillettes du 54) qui ressemblait plutôt à une taverne de village, le genre d’endroit où tout le monde se connaît et s’appelle par son prénom. La maîtresse des lieux était une grande blonde aux traits durs répondant au nom d’Ivana. Cette femme sentit tout de suite le vampire en lui... Il faut préciser que la grande russe connaissait bien cette race pour elle-même y appartenir.

Ivana avait formé un cercle restreint avec ses amis suceurs de sang. Ce groupe d’amis avait l’habitude de se réunir au sous-sol de ce fameux bar, tard dans la nuit jusqu’à tôt le matin, afin de discuter librement entre eux et, bien sûr, apprécier quelques rafraîchissements. En effets, ils avaient toujours un ou deux humains à chair fraîche et à sang chaud, tous des voyageurs à la recherche de sensations fortes qui avaient été séduits par l’un ou l’autre des amis de la maîtresse, à se mettre sous la dent...

Quand Darius débarqua, donc, la russe lui offrit volontiers de se joindre à eux. Darius ne put refuser l’invitation. Il n’avait eu d’amis vampire depuis les années 40, depuis Marcel... Aussi, c’était si bon de discuter ouvertement avec des gens « comme lui ». Malheureusement, le vampirisme était de toute évidence le seul point en commun entre lui et ses nouveaux amis. Ces derniers étaient des vampires sanguinaires, de vrais démons, qui tuaient les humains par centaines Darius, gardant Asario en tête, n’était plus vraiment tenté par le meurtre gratuit d’innocents. Il savait qu’une relation basée sur le respect pouvait exister entre un vampire et un humain. Et il savait qu’il était possible de se nourrir sans tuer.

Au fil des premiers mois, il tenta de faire entendre son point de vu mais les russes sanguinaires adoraient se mettre un américain sous la dent et surtout n’épargner personne. Mais, à force de persuasion, il réussit à convaincre Ivana de conserver ne serait-ce que pour lui, un seul prisonnier en vie dans l’une des cellules de la cave. C’est tout ce que Darius voulait. Il savait ce qui allait se passer ensuite... Et comme il l’avait prédit, les autres vampires devinrent rapidement jaloux de lui. Il avait un humain, une usine à sang disponible en tous temps rien que pour lui. Bientôt, tous les amis d’Ivana demandèrent leur propre prisonnier, leur propre esclave. Ivana y consentit et Darius en fût ravi. Des humains seraient fait prisonniers mais des dizaines, voir des centaines de vies seraient épargnées...

XI.
Dévastation
ou
Fatale Négligence

9 décembre 1998. Ivana et ses amis célèbrent les 90 ans de Darius. Le vin et le sang coulaient à flot. Abondance. Faire vieillir le vin, le faire boire par des humains puis le consommer dans le sang de ses victimes étaient la meilleure façon d’apprécier un grand cru. Un plaisir exquis. Ivresse. Mais en plein coeur de la fête, on oublie parfois d’être vigilent.

À son réveil, Ivana était folle de rage en remarquant qu’un esclave manquait à l’appel. Il avait dû s’enfuir alors que les vampires festoyaient ou pendant leur sommeil. Ivana lança un regard assassin vers Darius. Hystérique, elle hurla qu’au moins, quand on tuait la nourriture, elle ne risquait pas d’alerter les autorités. Elle ajouta que maintenant, ils devaient tout remballer et fuir en vitesse avant de voir débarquer les agents de l’ordre. Elle finit par pointer un doigt accusateur vers Darius, enragée, lui disant qu’elle avait tout perdu par sa faute. Elle lui ordonna de foutre le camp et de ne jamais croiser sa route à nouveau. Dévasté, Darius se retrouva seul devant rien. Plus d’amis, plus d’endroit où vivre... Et contrairement à l’habitude, ce n’était pas son choix...

Il passa donc la journée à errer dans Moscou à réfléchir à ce qu’il allait bien pouvoir faire. La nuit tombée, il retourna au bar d’Ivana. Il savait bien qu’il ne devait pas y retourner, que les flics devaient encore surveiller le périmètre mais c’était plus fort que lui, il devait faire ses adieux à l’endroit. En entrant au bar, cependant, il ne trouva pas l’établissement vide, comme prévu. Ce n’était pas les flics qui avaient passé. Le sal esclave avait fait appelle à des chasseurs... Ses amis étaient bien tous là... Morts. Des têtes tranchées, des membres mutilés, des corps empalés sur des pieux, du sang partout comme un flash-back de la seconde guerre mondiale alors qu’il avait été forcé de rester là étendu parmi les cadavres à faire le mort pour ne pas être tuer. Seulement cette fois, il s’agissait de ses amis. C’en était trop...

Les humains... Les humains qu’il avait voulu sauver, protéger des autres vampires... Ces mortels l’avaient trahit... Van Berg se promit dès cet instant de venger la mort des siens...

XII.
Extermination
ou
Ces Chasseurs Sachant Chasser...

Il avait fallu un peu moins d’une semaine à Darius pour retrouver le traître. Silencieusement, en pleine nuit, il s’introduisit chez l’ancien esclave pour lui offrir une extravagante torture afin de lui faire cracher les noms des chasseurs coupables du meurtre de ses amis. En à peine quelques minutes, il réussit à obtenir la liste qu’il désirait. Une très longue liste, un joyeux festin à se mettre sous la dent... Quand il eût tout ce qu’il voulait, il mordit le traître (qui venait tout juste de trahir les siens) à la jugulaire afin de boire son sang jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goûte d‘hémoglobine dans ce petit corps tout frêle. Ensuite, il s’excusa mentalement à Asario. Il lui avait promis de ne plus faire de mal à des humains, de ne plus tuer pour se nourrir. Mais, dans un sens, il allait tenir sa promesse. Maintenant, il ne tuerait que par vengeance...

L’un après l’autre, il réussit à retracer et à exterminé chacune des personnes ayant de près ou de loin participé à la boucherie du bar d’Ivana. Mais une fois la liste complétée, sa soif n’était toujours pas étanchée. Il se fit une mission d’exterminer tout ce qui tuait les siens. Après avoir purifié la Russie de ces êtres immondes, il passa le reste des années 2000 à Paris. Il y avait énormément de vampires dans la ville lumière (l’ironie, sans doute) et donc, beaucoup de chasseurs. Ce qui est bien avec les chasseurs, c’est qu’ils ne sont pas solitaires (tous des trouillards). Il ne suffit que d’en torturer un pour avoir le nom de dix autres de ses amis assassins.

C’est ainsi qu’en 2008, il entend parler des événements de Londres... Il y aurait du ménage à faire dans coin là, parait-il...

XIII.
Détermination
ou
The Honour

Darius Van Berg n’est plus qu'un vampire, ce n’est plus qu’une proie... C’est un tueur, un chasseur de chasseurs.

Darius Van Berg débarque à Londres déterminé à défendre sa race...

Cette histoire commence ici...

Ahh mais quelle fiche Darius I love you

!
Je suis franchement sous le charme =)
(J'ai d'ailleurs hâte qu'elle soit achevée ^^)

Ne t'inquiètes pas pour l'attente (d'autant plus que j'ai connu pire x)), c'est ton travail avant tout - et ton salaire Razz

- et moreover, nous avons le droit à une qualité du tonnerre alors prends ton temps =)

Et sinon, tout est parfait... Une petite remarque qui te servira peut-être pour les RP : nos vampires ne craignent pas la lumière du jour sur TH =)

Voilà voilà, bon courage pour la fin qui me semble trèèès prometteuse ^^
Bisous !

PS : et très beau kit en passant =)

Citation :: Une petite remarque qui te servira peut-être pour les RP : nos vampires ne craignent pas la lumière du jour sur TH =)

Ben... J'étais pas certain quand j'ai écrit le début... Mais merci de m'avoir prévenu ! ^^

Bon, là, je pourrais changer certains passages de mon histoire MAIS, regardez bien comment j'improvise... Twisted Evil

(ça m'a donné une idée...) ^^

:ÉDIT : finalement, non, j'ai changé d'avis ! ^^

Svelt, mon kit à été fait pour moi, pour ici, par une super amie qui a aussi son site de créa... ^^ Elle m'a fait des avas aussi mais je vous montrerai ça en temps et lieux ! ^^

En tous cas, merci pour ces compliments ! Ils me vont droit au coeur et m'encourage à poursuivre ! cheers

Voilà, j'ai (enfin)terminé ! Je crois avoir tout dis ! ^^ S'il manque quoique ce soit, je serai ravi de modifier ça ! Wink

PS: N'oubliez pas de changer mon nom dans les crédits... ^^

WOW !
Absolument ma-gni-fi-que Love

Franchement, je te félicite, car ta fiche m'a stupéfaite ! =) On est de suite captivé/e par le récit.

Je te valide donc, vu que ma Juliet est absente ^^
Bon jeu Darius, et au plaisir de te rencontrer en RP =)

(& j'ai changé ton nom dans les crédits ^^)

Merci pour la validation !

Merci d'avoir été patiente ! ^^

Merci pour la correction dans les crédits ! Wink

Mais surtout, merci pour ces beaux compliments ! Je n'ai pas l'habitude de faire des fiches mauvaises mais celle-ci est, je dois l'avouer, ma meilleure ! ^^ Je suis très heureux qu'elle te plaise ! Wink

Au plaisir, oui, maintenant que je bosse sur ce perso depuis des jours, j'ai bien envie de le faire vivre un peu ! Very Happy

Bonsoir

!

Quelle fichounette, vraiment Razz

! Je ne l'ai pas lue en entier encore, mais je vais vite, vite la finir ^^ ! La qualité est là, l'histoire est vraiment prenante comme dit Svelty' Smile

! *Va finir par accepter les persos inventés Rolling Eyes

* !

Bon, je peux pas continuer de lire car je vais finir le final de Lost, c'est trop urgent *_* !

Bises

EDIT 26/08 à 10:08 : j'ai fini ta fiche et : géniale I love you

! Vraiment, on est pris dans le récit dès le début, il n'y a aucun temps mort, c'est vraiment extra ! Tu peux maintenant RP... j'ai hâte de voir ce que ça donne Youpi

!